Et puis quand on trouve une personne avec un « déroule mon rebord » gagnant, on aimerait bien la garder longtemps, mais ça ne veut pas dire que ça fonctionne assez sur les autres plans pour qu'on ait envie d'avoir une vraie relation avec elle. Donc, ça finit en fuckfriend jusqu’à ce que l’un des deux se place, puis c’est fini pour un bout au mieux, pour toujours au pire.
Comment savoir si on se complète sexuellement?
Mais quelles sont les variables qui influencent ce je-ne-sais-quoi qui fait que deux personnes sont compatibles sexuellement? Pour être franc, je ne le sais pas vraiment plus que vous. Sans dire que j’ai eu des expériences négatives, je peux constater que ce genre de connexion ne m’est arrivé que très rarement dans ma vie. Mais quelles sont les variables qui semblaient présentes lors de celles-ci?
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Tout d’abord, j’ai cru remarquer que nous étions sur la même longueur d’onde au plan de la communication. Dans mon cas, on discutait beaucoup avant et après afin de mieux comprendre les besoins de l’autre et de mieux le guider. Pour ma part, je sais que j’ai beaucoup de difficulté avec une fille qui discute peu de sa sexualité ou qui en est gênée. J’imagine que pour certains, ça peut être différent (je connais des gens qui aiment les filles gênées, par exemple). L’important, à mon avis, c’est que chez les deux personnes, le niveau de communication nécessaire soit le même.
Ensuite, j’ai remarqué que le degré d’ouverture était sensiblement le même. J’ai toujours eu énormément de misère avec les filles qui ne veulent rien essayer où qui sont satisfaites avec le missionnaire chaque soir. Ça, c’est une variable propre à moi; j’ai besoin de variété, sinon je me tanne rapidement. Pour avoir une baise satisfaisante, il faut que ma partenaire soit willing, si on veut. Donc, j’imagine que c’est important d’avoir un degré d’ouverture semblable chez les deux personnes.
Finalement, les meilleures partenaires que j’ai eues voyaient le sexe comme une activité amusante, normale et non stressante. Il m’arrive de rire durant l’acte parce que j’ai toujours vu le sexe comme un jeu. Je sais que si je faisais ça avec certaines filles, elles seraient insultées parce que pour elles, c’est sérieux. Personnellement, j’ai beaucoup de misère à me prendre au sérieux et j’aurais de la difficulté si on me demandait de l’être. Il semblerait donc que ce soit une variable qui pourrait être à la base du bon match; les deux personnes doivent voir le sexe de la même façon.
Conclusion
Rien de bien scientifique n’est ressorti de mon bref article, mais je crois que ça peut aider à pousser une réflexion personnelle. Quelles étaient les choses que j’ai aimées et moins aimées chez telle ou telle personne? Pourquoi? Ça ne vous aidera peut-être pas à baiser davantage, mais au moins, vous serez plus au courant de ce que vous désirez vraiment au lieu de semer au gré du vent (excusez-la!).
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