Une jeune gardienne de prison emprisonnée pour avoir eu des relations « inappropriées » avec deux détenus
Auteur: Le GarsÀ LIRE AUSSI : Sextos : La police veut prendre en photo le membre en érection d’un adolescent et l'envoyer en prison
C’est ce qui est arrivé à Syndi Baker, une gardienne de prison de 25 ans. Elle a été accusée, puis reconnue coupable d’avoir eu des relations « inappropriées » avec deux détenus, dont l’un purgeait une peine à perpétuité pour meurtre. En effet, elle échangeait des lettres d’amour contenant des insinuations sexuelles avec les deux hommes.
La jeune femme a d’abord fait l’objet d’une enquête après qu’un détenu a fait allusion d’une relation sexuelle avec les deux.
Un premier
Les policiers ont été alertés et ont procédé à une fouille de sa chambre. Ils ont découvert une série de lettres montrant qu’elle était en contact entre autres avec un prisonnier qu’elle avait rencontré dans le cadre de son dernier emploi. Il était sous les barreaux depuis 2009 à la suite d’une condamnation pour meurtre.
Dans l’une des lettres, par exemple, le prisonnier et la gardienne parlaient du sexe qu’ils allaient avoir, tout en se disant qu’ils s’aimaient mutuellement.
Pendant le procès, l’avocate de Baker, Rachel Naylor, a souligné que sa cliente reconnaissait qu’elle avait agi avec stupidité et qu’elle s'était mal conduite.
En parlant des lettres, elle a déclaré que ça montrait « l’immaturité de Mme Baker » et que ça renvoyait à une sorte de fantasme.
« C’était absurde de sérieusement considérer un avenir avec un homme purgeant une peine à perpétuité », a-t-elle ajouté durant le procès.
Puis un deuxième!
Mais ce n’est pas tout! Baker a été accusée d’avoir eu des relations inappropriées avec un second prisonnier. Celui-ci était condamné à 5 ans d’emprisonnement pour des infractions en lien avec des armes à feu. Encore une fois, des lettres contenant des références sexuelles ont été retrouvées.
Devant l’ampleur de la preuve, Baker a été condamnée à une peine de 12 mois de prison. Mais étant donné qu’elle est enceinte d’un deuxième enfant (le premier n’a que 7 mois), le juge lui aurait dit qu’elle pourrait purger seulement la moitié de sa peine pour lui permettre d’accoucher.
Il faut dire qu’elle a eu le soutien, tout au long du procès, de son « vrai » amoureux (qui est aussi le père de ses enfants) et de ses parents, d'anciens gardiens de prison.
Espérons qu’en prison, elle ne noue pas une relation « inappropriée » avec un gardien de prison…
Vous avez aimé cet article? Regardez celui-ci!