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Les 10 outils de torture les plus fous de l’histoire

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Le « Brazen Bull »

Cet outil de torture proviendrait de la Sicile, en Italie, et aurait été inventé par un home qui avait la réputation de manger des enfants. On plaçait les hommes dans une espèce de contenant en forme de bélier, et ensuite on mettait le contenant (avec l’humain dedans) en feu. Pour ajouter à l’aspect film d’horreur, le créateur a ajouté un tuyau qui sortait de la bouche du bélier. Ainsi, c’était la seule place où de l’air passait, et cela permettait d’entendre les cris d’horreur des hommes qui se faisaient brûler vivants.  

La « Pear of Anguish »

Si vous avez écouté la série Bones ou Criminal Minds, vous l’avez certainement aperçue. La poire de l’agonie, si on traduit mot pour mot, s’insère en fait dans un orifice (la bouche, le vagin ou l’anus) et s’ouvre tranquillement et beaucoup trop grand pour l’orifice en question, causant une douleur vive et insupportable à celui se faisant torturer.

Le « Head Crusher »

L’outil est plutôt simple: la victime place sa tête sous le chapeau en métal et le bourreau serre la vis lentement sur la tête de la victime. Peu à peu, le crâne casse, ensuite les orbites des yeux (ce qui les fait sortir), la mâchoire, les dents et tout ce qui passe par là.

La chaise de fer

Elle est connue comme la chaise espagnole : la victime est attachée à la chaise qui contient de longs pics partout. Le bourreau serre les sangles jusqu’à ce que les pics transpercent la victime, pour qu’elle meure au bout de son sang.

L’arracheur de langues

Ce sont de gros ciseaux en métal qui étaient utilisés pour attraper la langue et la bloquer entre les pinces. Contrairement à ce que vous pensez, le bourreau ne coupait pas la langue : il tirait d’un coup sec pour l’arracher.

Le « Breast Ripper »

Cet outil a été conçu spécifiquement pour les femmes, pour détruire leur poitrine. On plaçait ces espèces de ciseaux en métal sur leur poitrine et on appliquait une pression, ce qui perçait gravement la peau. La victime vivait ensuite soit avec des cicatrices pour la vie, ou succombait aux blessures et mourait. Le pire, dans tout ça, c’est que cet outil est encore utilisé aujourd’hui. Dans certains pays, on punit les femmes qui exposent trop de peau ou qui allaitent leur enfant en public avec cet outil.

La roue de Catherine

Les roues ont été utilisées du 15e au 18e siècle pour torturer les hommes et les femmes. C’était une forme de torture publique qui devenait comme un spectacle. La victime devait d’abord se faire casser les membres. Ensuite, les bourreaux attachaient les membres de la victime à la roue et mettaient la roue en hauteur pour que tous puissent la voir. La pauvre victime finissait par être mangée par les vautours et les charognards.

L’âne espagnol

C’est un instrument en forme de V qui était utilisé durant l’Inquisition espagnole. À quoi est-ce qu’il servait? À découper les victimes en deux, en attachant des poids à leurs pieds alors qu’elles étaient assises dessus.

Le “Judas Craddle”

Celui-là est vraiment dégoûtant… On accrochait la victime dans les airs avec des chaînes et des  cordes, et on l’assoyait sur l’espèce de pyramide, en lui insérant le crochet dans l’anus ou le vagin. Pour augmenter la douleur, on ajoutait des poids pour que la pression soit encore plus forte. Les bourreaux laissaient les victimes dans cette position plusieurs heures, voire plusieurs jours. Si la victime ne mourrait pas d’empalement, elle mourait souvent d’une infection peu de temps après.

Le « rack »

C’est l’une des méthodes de torture les plus connues, et elle était très populaire en Angleterre pour punir les criminels accusés de crimes sérieux. La victime était attachée sur une grande surface de bois, chaque membre étant attaché séparément. Lentement, la tension était augmentée par un système de douilles, ce qui finissait par briser les tendons, disloquer les articulations et casser les os. Un mélange de cris d’agonie et de cracs se faisait entendre alors que l’instrument resserrait les tensions. Quelques victimes survivaient à cette torture, mais vivaient quand même avec des dommages physiques permanents, par la suite.

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