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Montres et tennismen : une histoire d’amour qui dure

Les premières victoires sur courts des montres

L‘été 1983 aura marqué les esprits avec cette victoire devenue culte de Yannick Noah sur le court de Roland Garros. Cette image s’est alors ancrée dans la mémoire collective : la joie inscrite sur le visage de Noah, ses deux genoux à terre et ses bras levés. Et au poignet, sa montre a elle aussi vécu son moment de gloire. Et pourtant, le partenariat du jeune athlète avec la marque Ebel durait depuis déjà un an. Mais c’est évidemment avec cette victoire que le partenariat a pris tout son sens: Yannick Noah, sa BTR 1911, au poignet concrétise son rêve et fait une belle promotion à Ebel. Si vous souhaitez vous mettre dans la peau du champion le temps d’un match entre amis en arborant fièrement une montre de la marque, Chrono24 en propose quelques modèles à des prix abordables.

Source : INA Sport

Après Noah, c’est au tour d’Andre Agassi de prendre la relève en exhibant son chronographe Conquest Classic en acier gris. Ambassadeur de la marque Longines elle-même à l’origine de tournois de tennis, Agassi affirmera le succès d’un tel partenariat. 

Entre bras et raquette, la montre !

Ces partenariats entre montres de luxe et tennismen engagent alors une série d’alliances du même type. S’en suit une union mythique entre Roger Federer et la marque Rolex, Jo-Wilfried Tsonga avec la même marque pour le modèle Oyster Perpetual Milgauss, et encore David Ferrer avec Bovet pour le modèle Tourbillon Ottanta, et Novak Djokovic avec la version Offshore de la Royal Oak de la marque Audemars Piguet. Dernièrement, Rafael Nadal, la star du tennis espagnol, a marqué les esprits en arborant sa montre à plus 700 000 euros sur les courts de Roland Garros : un immense coup marketing à la fois pour la marque, mais pour l’athlète lui-même, dont l’image est devenue un symbole !

Source : Ella Ling pour Richard Mille

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