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Pourquoi on vous en parle? Parce que cela aura définitivement un impact sur les ventes de voitures puisque le gouvernement espère que, en 2025, les véhicules sans émissions polluantes constitueront quelque 15,5% des ventes annuelles. À titre de comparaison, elles sont actuellement environ la demie de 1%.
La méthode employée par le gouvernement est simple : chaque constructeur devra vendre un certain nombre de voitures, lui donnant des crédits. Si il n’a pas assez de crédit à la fin de chaque année, il devra verser des redevances. S’il en a trop, il pourra les revendre aux autres manufacturiers qui n’ont pas réussi à atteindre leur objectif.
L’objectif de la loi est simple : augmenter le nombre de véhicules électriques en vente au Québec, offrir plus de choix aux consommateurs tout en faisant baisser les prix, et stimuler cette portion de l’économie de la province. Rappelons en effet que le Gouvernement du Québec a présenté son plan d’électrification des transports qui prévoit la présence de 100 000 véhicules électriques sur les routes du Québec en 2025. On anticipe aussi la création de 2 000 emplois dans ce secteur en plein développement.
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