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Concrètement, le système est simple mais sophistiqué : il installe un logiciel qui lit les informations recueillies par les capteurs de la voiture, les transmet au moteur qui divise le couple en conséquence et le transmet aux roues motrices.
Ce système, qui ainsi expliqué peut ressembler à celui de plusieurs autres manufacturiers, a cependant d’importantes différences. Ainsi, c’est en se basant sur le comportement humain, et non une simple conception mécanique, que le GVC fonctionne.
« Concrètement, nous avons voulu reproduire la fluidité des mouvements du corps humain. Quand le poids se transfert, les humains feront tout en leur pouvoir pour conserver la tête droite, et pour compenser le poids des forces G. C’est ce genre de réaction que nous avons voulu simuler avec le GVC », a expliqué Dave Coleman, un des ingénieurs représentants de Mazda.
Un exemple : au moment d’amorcer un virage, la voiture anticipera la trajectoire et abaissera juste un peu le capot dans la bonne direction. L’œil humain le percevra, mais le conducteur n’en sera pas conscient. En revanche, son système s’adaptera rapidement et se placera en bonne position pour être plus confortable et pus en maitrise du véhicule.
Testé à 50 kilomètres à l’heure sur un circuit mouillé, le GVC a démontré sa capacité à offrir une direction précise, et à diminuer le nombre d’interactions nécessaires entre le pilote et le volant pour conserver la bonne position.
Toutes les voitures Mazda recevront de série ce système dès sa sortie, au fur et à mesure que les véhicules seront renouvelés
Croyez-vous que ce genre de système fera une vraie différence?
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