Dans cette nouvelle chronique, je ne vous amène pas au bout du Saint-Laurent (il faudra y revenir pourtan). Non, je vous amène plutôt près de chez vous, pour ceux résidant dans cette ville.
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Je veux simplement partager avec vous ces moments de plaisir que j’ai vécus, caméra en main, en sillonnant les rues et les parcs de Sherbrooke. Il peut arriver une panne d’inspiration. Le remède : faire confiance, saisir sa caméra et déambuler, de jour, de soir, hiver ou été. Surtout, rester alerte, réceptif.
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Pas de truc particulier pour ces photos, un trépied en faible luminosité – un boîtier pouvant monter en ISO sans trop produire de bruit facilite le travail si le trépied est resté sagement à la maison – et un logiciel antibruit au besoin. Quelques-unes de ces photos ont été prises avec un Nikon D70S, les autres avec D300S ou D700. Voilà pour le matériel.
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Peu importe finalement, car le but, c’est de passer de bons moments en développant, de sortie en sortie, une belle capacité de voir ce qui est à la portée de tous. Prêtez aussi attention à la météo, par exemple la brume qui s’amène, venant de l’autre côté du lac, la neige d’un soir ou l’ondulation de l’eau à vos pieds.
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Je vous laisse parcourir Sherbrooke en souhaitant que ces clichés vous stimulent. En souhaitant que vous saisissiez votre appareil et partiez à la recherche des petits trésors tout près de chez vous, le nez au vent.
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À bientôt
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