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D’emblée, je vais vous faire une confidence; je n’ai jamais été un grand amateur de produits Volkswagen. Une question de goût personnel. Cependant, j’ai toujours su reconnaître quelques éléments, notamment leur qualité de construction et l’agrément qu’il procure à qui en prend le volant.
Conséquemment, je n’ai jamais considéré l’achat d’un produit de la marque pour mes besoins personnels.
Tout ça a changé avec la version R de la Golf.
Réintroduire sur le marché en septembre 2015, cette dernière m’a séduit instantanément et après l’avoir analysé de fond en comble, force est de constater que nous sommes peut-être en présence du véhicule parfait. Enfin, quasi parfait.
D’abord, le format est pratique. Avec la configuration à hayon est la possibilité de rabattre les sièges arrière, on obtient un volume de chargement qui répond à l’ensemble des besoins.
Ensuite, le niveau de confort. C’est probablement l’une des choses les plus étonnantes à propos de cette voiture. Outre son caractère performant, la suspension offre une douceur de roulement vraiment impressionnante.
Parlant de performance, comment peut-on s’ennuyer avec un moteur 4-cylindres de 2 litres turbo qui développe 292 chevaux? Ce n’est pas trop, mais c’est suffisant pour se payer de très bons moments au volant, surtout que le véhicule demeure relativement léger à 1545 kg. Le 0-100 km/h est une affaire de cinq secondes. En prime, moteur et transmission montrent une souplesse exemplaire.
Quant à l’expérience au volant, elle est sans reproche. Agile comme un chat, la Golf R répond à nos moindres demandes avec une précision renversante.
Et la cerise sur le gâteau, c’est qu’elle est livrée de série avec la traction intégrale.
Dire que ça colle à la route est un euphémisme.
Quant aux prix, autour de 40 000 $, il représente une aubaine si l’on considère ce qu’on obtient en retour.
Le seul bémol, c’est la réputation de fiabilité des produits de la marque. À cela, je réponds toujours qu’il y a l’option de la location.
Dans mon cas, oui. La perfection n’est peut-être pas de ce monde, mais on n’est pas loin de la coupe ici.
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