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Lors d'un événement auquel j'ai participé le vendredi, le rassemblement du Quail pour ne pas le nommer, nous nous sommes retrouvés, mes collègues et moi, dans un impressionnant bouchon de circulation en route vers cette activité.
De nos jours, il est plus frustrant qu’inquiétant de se retrouver dans une telle situation. On met la climatisation et on attend patiemment que la route se dégage.
Il ne faut pas reculer trop loin pour se rappeler que jadis, ça pouvait être stressant de se retrouver dans un bouchon. Outre le fait d'avoir chaud, on était inquiet que notre voiture ait chaud, aussi. Les systèmes de refroidissement de l'époque n'étaient pas des plus efficaces et il n'était pas rare de voir des voitures chauffer et être forcé à s'arrêter en bordure de la route.
Dans ce bouchon en route vers le Quail, nous avons aperçu cette Ferrari 250 GT, une voiture qui vaut plusieurs centaines de milliers de dollars. À bord, pas de climatisation. En fait, il est possible que la ventilation ait été mise au maximum afin de permettre au moteur de respirer.
Toujours est-il que le conducteur et sa passagère semblaient cuire à bord de leur bijou, si bien qu'à chaque occasion qui se présentait, le conducteur ouvrait sa portière afin d'aérer l'habitacle. Il faut aussi comprendre que les vitres de cette voiture ne s'ouvrent pas de façon conventionnelle. Vous pouvez le voir sur une des photos, c'est un système de glissière qui permet d'aérer un tant soit peu la cabine.
Avec une chaleur qui avoisinait les 30 degrés Celsius, on peut comprendre le pauvre couple d'avoir eu chaud.
Voir une Ferrari 250 GT sur la route, c'est peut-être une chose que je ne reverrai jamais. Pourtant, je vais surtout me souvenir du fait que le conducteur devait ouvrir sa portière pour respirer.
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