Il faut regarder d’où on vient pour savoir où on s’en va! Je me suis entretenu avec Richard Worzel, le plus grand futurologue canadien, qui prédit notre avenir comme étant très technologique. Déjà , dans les années 50, on prévoyait que le futur serait rempli de robots… Eh bien! la prédiction est toujours la même : « Cette fois-ci, les robots apparaîtront pour vrai », affirme M. Worzel!!
Les quelques objets à piles présentés en photos nous rappellent des bons souvenirs, mais plusieurs de ces articles ont déjà fait partie intégrante de la haute technologie. Je me souviens du baladeur jaune de Sony quand j’étais enfant, et du fameux Game Boy, qui a rendu les jeux vidéo mobiles. Cette évolution nous permet de deviner un peu notre futur, de plus en plus technologique de toute évidence!
Richard Worzel n’a pas tort avec ses prévisions. Pensez seulement aux téléphones intelligents, avec lesquels on peut maintenant poser des questions (siri sur iPhone), ou encore aux voitures qui se stationnent toutes seules… vous en voulez plus? Pensez au « frigo » qui vous indique ce qui est périmé ou presque vide afin de mieux planifier votre prochaine épicerie. La domotique s’en vient de plus en plus courante dans les nouvelles maisons. Bref, M. Worzel pourrait avoir raison parce que dans les années 50, on pouvait présumer que les scientifiques seraient en mesure de fabriquer des machines pouvant se déplacer; maintenant, on sait que ces engins pourront être intelligents!
Les robots du futur ne seront pas nécessairement des êtres à deux pattes. Voici ma prédiction : on aura tous notre mémoire électronique, un serviteur fonctionnant sur un processeur plus puissant qu’on ne puisse l’imaginer aujourd’hui. Notre Oscar, Alfred ou autre (qu’on pourra probablement baptiser nous-même) enregistrera tous nos faits et gestes. Imaginez, dorénavant, ne rien oublier!! « Tsé le gars que j’ai rencontré il y a deux semaines, il me parlait de son nouveau projet… merde, c’est quoi son nom? » TERMINÉS les oublis. Du plus loin que je me souvienne…
À parier que les apprentissages que l’homme devra faire seront différents, axés sur la maîtrise et l’interprétation plutôt que sur la connaissance; plus besoin du cours classique!
Richard Worzel expliquait le futur pour la médecine, par exemple avec les nanorobots qui pourront être injectés dans notre système pour intervenir sur les cellules une à une lors d’un cancer, lequel pourra être détecté dès la première minute de son apparition par un scan quotidien qu’on fera avant d’aller au lit. Est-ce que ça va régler le temps d’attente aux urgences? Ça, c’est un autre sujet.
Tout sera donc électronique et portatif; voilà un avenir intéressant pour Duracell! Mais la fiabilité des piles va finir par nous rendre malades si on en devient dépendants. C’est pour ça que Duracell s’est penché sur la question : la technologie Duralock vient garantir que vos piles ne perdront pas leur charge toutes seules, sans utilisation (jusqu’à 10 ans selon le type de pile).
C’est dans le cadre du lancement de Duralock que j’ai pu rapporter des photos d’objets fétiches de notre passé et discuter du futur avec le futurologue Richard Worzel, Torontois et auteur du livre Who Owns Tomorrow.
Duracell, qui a vu le jour dans les années 20 de l’alliance entre Samuel Ruben (scientifique) et Philip Rogers Mallory (manufacturier de fil de tungsten), se concentre encore et toujours sur la recherche et le développement.
Leur dernière innovation, Duralock, est le résultat d’améliorations apportées au cours des dernières années aux piles alcalines, notamment la pureté des ingrédients dans les piles :
• Les ingrédients puissants aussi purs que de l’or 24 carats procurent l’alimentation nécessaire à la pile grâce à la réaction chimique créée.
• Un séparateur unique entoure et protège l’anode et la cathode, procurant ainsi une protection contre les courts-circuits.
• La triple protection anticorrosion enveloppe le contenu de la pile dans un recouvrement d’acier nickelé anticorrosif et résistant à l’acide, lequel garantit la puissance jusqu’à 10 ans lorsque les piles sont entreposées.
On dirait bien que les petits monstres à « batteries » sont là pour rester!
Source photo : Jean-Sébastien Mailhot