Obtenez l’appui du médecin
Avant toute chose, assurez-vous que rien ne cloche en obtenant le OK du médecin, surtout s'il y a un petit bout de temps que vous n’avez pas passé d’examen médical ou que vous prenez de la médication. Le but est simplement d’écarter la possibilité d’un problème de santé important.
Commencez par de petits objectifs
Allez-y progressivement en vous fixant de petits objectifs à court terme. Les petits objectifs seront plus faciles à atteindre qu'un seul grand objectif qui peut sembler énorme et difficile à atteindre.
Misez sur la variété
En général, je recommande aux gens de changer de programme d’entraînement au bout de 8 à 12 semaines. En plus de changer votre programme régulièrement pour éviter l’adaptation du corps au stress, agrémentez votre pratique en variant vos autres activités physiques afin d’éviter de vous ennuyer avec la même routine.
Trouvez-y du plaisir
Ne voyez pas votre entraînement comme une corvée. Concentrez-vous plutôt sur les aspects positifs et ce que cela vous apporte. Recherchez-y une source de motivation et de plaisir. Par exemple, vous pourriez y voir l’occasion de forger votre force de caractère, votre discipline ou encore de tester vos limites. L’important c’est d’y voir quelque chose de motivant! Je vous suggère la lecture de mon article sur 5 trucs pour rester motivé à l’entraînement.
Alimentez-vous correctement
L’exercice n’est qu’une partie de l’équation! Votre alimentation aussi compte pour beaucoup dans l’atteinte de vos objectifs de santé. Pour des informations spécifiques à ce sujet, vous pouvez vous référer à plusieurs de mes articles précédents, dont comment manger lorsqu’on fait de l’activité physique.
Buvez beaucoup d'eau
L’hydratation est l’un des facteurs qui affectent de façon significative la performance. Assurez-vous de boire suffisamment avant, pendant et après vos activités et de refaire le plein de glucides, de protéines, de vitamines et de minéraux.
Travaillez votre résistance à la douleur
Apprenez à tolérer la fatigue et à apprivoiser la douleur. Plus vous élèverez votre seuil de tolérance et plus vous pourrez mettre de l’intensité dans ce que vous faites, ce qui veut dire que plus vous atteindrez vos objectifs rapidement. Assurez-vous seulement qu’il s’agisse d’une bonne douleur (ex. : fatigue musculaire) et non d’une douleur mécanique qui peut conduire à des troubles musculosquelettiques chroniques (ex. : tendinites).
Reconnaissez vos limites
Si vous ressentez de la fatigue accumulée, des signes de douleurs articulaires ou même des raideurs qui vous empêchent de fonctionner correctement, sachez écouter votre corps et prendre un peu de recul. Parfois, quelques jours de repos sont tout ce qu’il faut pour recharger vos batteries et repartir plus fort!
Faites les choses en bonne et due forme
Faites attention à ce que vous pouvez « entendre dire » et informez-vous auprès de sources fiables sur ce qui peut influencer votre entraînement. N’hésitez pas à parfaire vos connaissances en parcourant des chroniques ou des articles sur internet, en lisant des livres ou encore en demandant conseil auprès d’un professionnel tel que le kinésiologue. Vous pourriez, par exemple, commencer par la lecture de mon article sur comment s’entraîner dans les règles de l’art.
Multipliez vos chances
Optimisez votre approche en vous attaquant au problème sous plusieurs angles. Plus vous ajouterez de petits éléments dans votre plan d’action et plus vous bénéficierez d’un effet de synergie, vous permettant encore une fois d’atteindre vos objectifs plus rapidement. Mon article sur 10 trucs pour stimuler votre métabolisme en est un exemple.
Le secret en fait, c’est de bien préparer votre plan d’action et de trouver des moyens simples pour intégrer le tout dans votre quotidien en apportant des correctifs à vos habitudes de vie. En cas de difficultés, rappelez-vous pourquoi vous avez décidé de prendre votre santé et votre condition physique en main…