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1) «La première journée dans un magasin de grande surface comme agent de sécurité. Je suis arrivée quelques minutes plus tôt et j’ai vu un homme portant l’uniforme de l’entreprise se faire mettre à l’arrière d’une voiture de police par 4 policiers. Il capotait et se débattait contre eux, il criait à plein poumon et était à un doigt de se faire pointer une arme contre lui ou de se faire asperger du poivre de cayenne. Je suis encore aujourd’hui étonné par le contrôle dont les policiers ont fait preuve. Après être monté dans la voiture, j’ai découvert qu’il était l’ancien agent de sécurité et qu’ils avaient coordonné son arrestation à mon arrivée. Mon patron m’a ensuite dit : «ce n’est pas pour t’effrayer. On voulait seulement être certain qu’il n’y avait pas un problème dans ta couverture.» Il paraît que l’ancien agent a volé pour plus de 25 000$ de matériel en quelques mois et qu’il s’est fait prendre seulement parce qu’il était stupide et avare. Disons qu’il m’a fait toute une première impression.»
2) «Ma meilleure histoire est aussi ma pire. Lorsque je travaillais comme agent de sécurité chez Target on a eu un homme qui est venu et qui a volé une pompe à vélo. Quand on l’a approché dans le stationnement, on a vu qu’il avait un vélo accroché avec un petit chariot. Il était clairement un sans-abri et il essayait très fort de gonfler l’un des pneus de son vélo. Mon patron avait déjà appelé la police, mais après avoir vu cet homme-là comme ça, je ne pouvais pas le laisser se faire arrêter, alors, j’ai couru à l’intérieur et je suis allé payer une pompe à vélo moi-même. Quand la police est arrivée, je me suis présentée et j’ai dit que tout était correct. Mon patron était plutôt fâché contre moi, mais je m’en foutais. J’ai démissionné peu de temps après. Je ne regrette rien. C’était un travail de merde de toute façon.»
3) «Un pénis caché. Il était partout. Sur les équipements, la liste de contrôle de la patrouille et dans les livres de prises de notes. C’était un pénis particulier qui était dessiné. Ce n’était pas constant, mais assez fréquent pour entrainer des rencontres avec les ressources humaines, des menaces de harcèlements sexuels et de fausses accusations. La personne mystérieuse avait été appelée «the dick bandit». Encore aujourd’hui, personne ne sait qui est le «dick bandit». Il y a encore de temps en temps un pénis qui refait surface. On le sait. On le sait que cette personne existe.»
Et vous, à quoi avez-vous assité de plus dérangeant dans votre emploi ou ailleurs?
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