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Le problème, c’est que pour le moment, les conditions de l’entente demeurent inconnues, puisque le juge Charles Breyer, responsable du dossier, a exigé que les parties gardent le tout confidentiel d’ici l’acceptation finale prévue le 21 juin.
Selon les informations disponibles cependant, il semble que les propriétaires de voitures VW munies du moteur 2,0 litres TDI et touchées pas le scandale auront le choix entre revendre leur voiture à VW, casser le bail sans pénalité, ou faire réparer la voiture.
Une compensation monétaire substantielle serait aussi au programme, mais sans confirmation du montant. Les rumeurs font état de quelque 5 000$ par voiture, mais on ignore à quelle condition.
Le porte-parole de Volkswagen Canada, Thomas Tetzlaff, a confirmé aux médias que les résolutions conclues avec l'agence de protection de l'environnement aux États-Unis (EPA) s'appliquaient aussi au Canada, "car les véhicules canadiens sont certifiés" par l'agence.
Par communiqué, jeudi, Volkswagen Canada avait affirmé que les propriétaires n'avaient pas à prendre des mesures pour l'instant, et qu'ils seraient informés de la marche à suivre dès que possible.
Quelque 500 000 voitures truquées seront ainsi corrigées aux États-Unis. Reste maintenant les 125 000 voitures dotées du moteur 3,0 litres pour lesquelles aucune solution n’a encore été trouvée.
Enfin, VW semble vouloir voir la lumière au bout du tunnel.
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