Dans la série de bandes dessinées Astérix, Bonemine fait crouler de rire Astérix et Obélix en surnommant «Cochonnet», son mari, le chef Abraracourcix. Plus près de nous, Rénald (Marc Labrèche) déclenchait l’hilarité générale en attitrant le surnom de «Creton» à sa conjointe Lison dans la série télévisée «La petite vie». Affairedegars.com vous invite à faire un survol des surnoms les plus quétaines entendus dans notre quotidien.
À LIRE AUSSI : 10 conseils pour avoir de bonnes relations avec tout le monde
Parmi les surnoms utilisés à outrance et pas originaux pour deux cennes, on en retrouve une flopée comme ma chérie, mon amour, mon cœur, mon ange et le très commun mon chou qui trône peut-être parmi les plus quétaines dans la catégorie des surnoms classiques.
Viens ensuite les surnoms très infantilisants comme mon poussin, ma puce, mon nounours, mon chaton et l’incontournable mon bébé qui, quand on y pense bien, témoigne plus d’une relation parent-enfant dans un couple que d’une véritable relation amoureuse et sensuelle entre deux adultes.
Par contre, certains surnoms quétaines, souvent associés à des animaux, font immédiatement référence à l’univers érotique d’un couple comme ma féline, ma lionne, ma tigresse, ma louve, mon étalon alors que d’autres brisent immédiatement toutes références sensuelles comme ma crotte, mon pit, ma toutoune, ma vieille, ma p’tite mère, pitou ou minou…
Ensuite, on retrouve les surnoms amoureux utilisés par les apprentis poètes comme mon trésor, mon soleil, mon arc-en-ciel, ma douce moitié, ma dulcinée et les plus sophistiqués comme ma déesse, ma muse, ma nymphe et mon apollon.
Il y a aussi la catégorie «What the fuck» dans laquelle on pourrait insérer des surnoms populaires comme ma pitchounette, ma louloutte, ma titounette, ma chipounette qui, en dehors de l’intimité du couple, n’ont carrément aucun sens.
Et toi, quel est ton surnom amoureux mon lapin ?