10 – Ron Hextall
peuplent mon palmarès : il avait du talent, il évoluait dans un bon
environnement, mais il avait vraiment de la difficulté à gérer ses
émotions!
il a mené les Flyers à la finale de la Coupe Stanley. Malgré que les
Flyers aient perdu en finale face aux Oilers en sept matchs, il a
remporté le trophée Conn Smythe, faisant de lui l’un des cinq joueurs
membres de l’équipe perdante à remporter le trophée du joueur le plus
utile.
en tirant la rondelle directement dans le filet vide de l’adversaire,
contre les Bruins de Boston lors de la saison 1987-88. La saison
suivante, il est devenu le premier gardien à marquer dans les séries, en
tirant la rondelle dans le filet des Capitals de Washington.
coups de bâtons! Il a été suspendu pour six matchs ou plus à trois
reprises, il a reçu plus de 100 minutes de pénalité dans chacune de ses
trois premières saisons et il a établi un nouveau record pour le nombre
de minutes de pénalité enregistrée par un gardien dans la LNH en une
saison (113 minutes).
de 1987, Hextall a frappé Sylvain Turgeon au bras à l’entraînement,
déclarant que ce dernier était trop près de son but! Turgeon a raté le
tournoi en raison d’un bras fracturé et Hextall n’a pas joué un seul
match.
dollars par an, a embauché l’agent Ritch Winter afin de renégocier son
contrat. Les Flyers ont refusé de traiter avec l’agent et Hextall a tenu
une conférence de presse lors de laquelle il a déclaré son contrat
invalide et annoncé qu’il ne prendrait pas part au camp d’entraînement
de l’équipe.
vingt ans plus tard, Hextall s’est présenté à l’entraînement du club,
42 jours plus tard.
9 – Claude Lemieux
glace, c’est grâce à elle s’il a connu autant de succès et qu’il fût
identifié comme un excellent joueur en séries éliminatoires. Cette même
caractéristique a fait de lui l’un des hockeyeurs les plus détestés de
tous les temps!
certains même violents, mais il y a habituellement un respect mutuel
entre eux.
frappait par derrière, il utilisait son bâton lors de mises en échec
percutantes et il les insultait sans retenu. Il a même poussé
l’arrogance jusqu’Ã boire dans la gourde du gardien de but adverse!
antipathique, il n’était pas rare de le voir sourire lorsqu’il blessait
un de ses vis-Ã -vis!
Lemieux, qui était confronté à Jim Peplinski dans une échauffourée, a
mordu un doigt de son opposant!
durant les éliminatoires de 1996. Alors qu’il portait les couleurs de
l’Avalanche, il a frappé Kris Draper, des Red Wings, par derrière, tête
première dans la bande.
d’un os du visage, en plus d’avoir le nez cassé. Le joueur de Detroit a
dû subir une chirurgie reconstructive du visage.
certains amateurs qui soutenaient qu’il méritait une peine plus sévère.
8 – Matthew Barnaby
l’histoire de la LNH. Bien que j’ai précisé que ce type d’athlète
n’allait pas figurer sur mon palmarès, Barnaby est dans une classe Ã
part!
d’un match, attendaient en fin de soirée à l’extérieur du vestiaire!
carrière, il a passé sept saisons dans l’organisation des Sabres.
dans pas moins de 206 combats dans la LNH en carrière! Son palmarès
culminant à 28 bagarres lors de la campagne de 1995-1996!
première fois. Dans un match contre les Flyers, le 29 mars 1996, après
avoir reçu une solide mise en échec, Barnaby demeure allongé sur la
glace, apparemment blessé puisque le soigneur le rejoint sur la glace.
Soudainement, Barnaby se redresse sur ses patins et s’attaque au gardien
de Philadelphie, Garth Snow, lui assénant une série de coups de poing
avant d’être arrêté par Rod Brind’Amour.
de Stu Barnes le 11 mars 1999. La saison suivante, il dispute l’un de
ses plus célèbres combats contre son ancien coéquipier, Rob Ray, après
avoir soupé avec lui la nuit précédente.
Panthers, est sorti BankAtlantic Center, domicile de l’équipe de la
Floride.
que d’agir comme un bon professionnel et d’ignorer les paroles de
l’homme, Barnaby l’a confronté, il a attrapé le bras du partisan et
essayer il a tenté de le balancer par-dessus une rampe! D’autres
personnes qui assistaient à l’événement ont porté main-forte à l’homme,
qui s’en est bien sorti.
des problèmes avec l’autorité. Le 13 mai 2011, Barnaby a été arrêté pour
violence conjugale à Amherst, dans l’état de New York, pour avoir tenté
notamment d’entrer par effraction chez son ex-copine.
– Outrage au Tribunal, pour avoir violé une ordonnance de la Cour qui
l’empêchait de se trouver à proximité de la maison de la dame.
– Entrée par effraction, pour être entré dans la maison par la porte de garage endommagée.
– Deux chefs de harcèlement, un pour avoir insulté son ex-femme après
qu’un agent de police ait été appelé sur les lieux et un pour avoir fait
une trentaine d’appels au nouvel ami de cÅ“ur de la femme, deux heures
après l’incident. Barnaby aurait notamment menacé l’homme de blessures
physiques et dirigé des insultes racistes envers lui.
été condamné à 500 heures de travail d’intérêt public, en plus qu’une
ordonnance d’un an supplémentaire l’empêchant d’entrer en contact avec
son ex-conjointe et son nouveau petit ami.
et accusé de conduite en état d’ébriété. Alors commentateur du réseau
ESPN, il a vu la chaîne mettre fin à son contrat.
coupable et a été condamné à payer une amende de 1500 $, ainsi qu’à 100
heures de service communautaire.
7 – Dale Hunter
l’aréna pour les entraînements et prêt à tout pour son équipe. Grâce Ã
son charisme, Hunter a été un des favoris de la foule, tant à Québec
qu’Ã Washington.
et même, qualifié par certains comme l’erreur qui a mené au déclin et
au départ de l’équipe de la Vieille-Capitale.
le surnom de « La petite peste » à Québec, Hunter a été échangé aux
Capitals.
demi-finales de division en 1993 entre les Capitals et les Islanders,
Hunter a frappé illégalement Pierre Turgeon alors qu’il célébrait un
but.
dernier a subi une dislocation de l’épaule. Le geste est toujours
considéré comme l’un des plus antisportifs de l’histoire de la LNH.
auparavant promis de sévir contre la violence, a suspendu Hunter pour
les 21 premiers matchs de la saison 1993-1994, ce qui à l’époque
constituait la plus longue suspension dans l’histoire de la ligue pour
un incident sur la glace.
toujours au deuxième rang dans les colonnes des minutes de pénalité dans
l’histoire de la LNH, derrière Dave « Tiger » Williams.
des Knights de London dans la OHL. Son changement de carrière ne l’a
pas pour autant rendu plus zen!
condamnée une amende de 5000$ pour avoir insulté les officiels une fois
hors de la glace.
l’Ontario pour avoir critiqué les arbitres après l’élimination des
Knights des éliminatoires en quatre rencontres.
facultés affaiblies. Les accusations ont été abandonnées lorsque le juge
a statué que ses droits en vertu de la Charte canadienne des droits et
libertés avaient été violés pour détention illégale et puisqu’il avait
privé de son droit à un avocat.
pour deux rencontres après que l’attaquant Matt Davis ait quitté le
banc pour participer à une bagarre; les règles de l’OHL stipulent qu’il y
a une suspension automatique pour le joueur et l’entraîneur si un
athlète quitte le banc pour s’impliquer dans une altercation.
en 2011-2012. Son tempérament dur et ses exigences défensives ont
compliqué sa tâche avec le capitaine du club, Alex Ovechkin et après six
mois à la barre de l’équipe et une élimination hâtive des séries,
Hunter a offert sa démission.
6 – Raffi Torres
on oublie facilement qu’il avait été sélectionné au premier tour du
repêchage de la LNH en 2000, cinquième au total!
de privilégier le style de jeu qui avait fait son succès dans le junior,
mais les lacunes de son coup de patin ont eu raison de ses aspirations.
nombreuses blessures en 2007-2008 et 2008-2009 et une cinquième
transaction l’impliquant en sept ans, Torres s’est retrouvé avec les
Canucks en 2010-2011.
conduite. Le 6 avril 2011, Torres a appliqué un coup à la tête de Jordan
Eberle des Oilers d’Edmonton. Ce dernier n’avait pas été blessé et
Torres avait reçu une suspension de quatre matchs pour son geste.
se défendre en faisant valoir qu’il n’avait pas sorti le coude et que
ses pieds n’avaient pas quitté la glace sur la séquence. La suspension
avait mis un terme à la saison régulière de Torres, puisqu’il ne restait
que deux rencontres au calendrier des Canucks.
contre les Blackhawks. Au cours de cette partie, Torres a frappé
violemment le défenseur de Chicago, Brent Seabrook. Il s’est vu décerner
une pénalité mineure sur le jeu. Plus tard dans la rencontre, Torres a
visé Seabrook une seconde fois, blessant ce dernier pour les deux matchs
suivants. Le joueur des Canucks n’a pas reçu de suspension de la ligue
pour cet incident.
Torres a continué à se forger la réputation de cibler les têtes des
adversaires. Le 29 décembre 2011, il a été condamné à une amende de 2500
dollars pour avoir atteint Jan Hejda à la tête avec son coude.
la séquence, on le voit clairement sauté avant le choc. Ce geste lui a
valu une suspension de deux matchs.
et Chicago, Torres a encore sauté en distribuant une mise en échec Ã
Marian Hossa. Hossa est demeuré sur la glace, il a dû être placé sur une
civière et envoyé à l’hôpital par ambulance.
raison du contact illégal à la tête. En citant ses antécédents, Brendan
Shanahan a condamné Torres à une suspension de 25 matchs, la deuxième
plus longue suspension dans l’histoire de la LNH moderne. La durée fût
réduite à 21 matchs en appel au cours de l’été.
les huit premiers matchs de la saison 2012-2013. En raison du lock-out,
il n’est revenu au jeu que le 1er février 2013.
premier match de la série de deuxième tour contre les Kings, Torres a
une autre fois visé la tête de son adversaire, Jarret Stoll, le
blessant. Le coup était illégal et Torres a été suspendu par la LNH pour
le reste de la deuxième ronde. Les Sharks ont été éliminés par les
Kings, Torres n’a pas disputé d’autre rencontre depuis.
5 – Marty McSorley
les Kings, Ã titre de garde du corps de Wayne Gretzky. Et le principal
intéressé aurait probablement préféré que ce soit ce que l’histoire du
hockey retienne de lui…
Bruins. Le 1er février 2000, lors d’une partie entre Vancouver et
Boston, McSorley a frappé Donald Brashear à la tête avec son bâton dans
les derniers instants du match, après avoir perdu un combat contre ce
dernier plus tôt dans la soirée.
reste de la saison et des éliminatoires, soit un total de 23 matchs.
armé pour son geste envers Brashear. Il fût condamné à 18 mois de prison
avec sursis.
complète par la LNH. McSorley ne disputa plus jamais un autre match dans
la LNH. Il termina sa carrière avec les Griffins de Grand Rapids dans
la IHL.
4 – Todd Bertuzzi
réputation d’être un joueur robuste, qui n’avait pas peur de jeter les
gants. Il avait déjà été suspendu une fois, pour dix rencontres pour
avoir quitté le banc des siens afin de venir en aide à un coéquipier
impliqué dans une bagarre en 2001-2002.
2004, Bertuzzi a posé un geste qui aura marqué à jamais sa carrière. En
première période, l’attaquant du Colorado, Steve Moore, a livré un
combat contre le joueur de Vancouver, Matt Cooke.
remplie de bagarres. Vers la fin de la troisième période, Todd Bertuzzi a
essayé d’inviter Steve Moore à se battre, ce dernier a refusé.
frappé à l’arrière de la tête. Le gros attaquant des Canucks a « perdu
pied » et est atterri sur Moore, le visage du joueur de l’Avalanche a
été la première partie de son corps à frapper la glace. Son coéquipier,
Andrei Nikolishin, et celui de Bertuzzi, Sean Pronger, se sont ajoutés Ã
l’empilade. Moore a été assommé et est resté immobile pendant dix
minutes avant d’être transporté à l’extérieur de la patinoire sur une
civière.
grade trois, une blessure aux ligaments vertébraux, l’étirement des
nerfs du plexus brachial et des lacérations au visage.
excuses pour son geste. La même journée avait lieu son audience
disciplinaire avec la LNH, Ã Toronto.
matchs de la saison régulière des Canucks, en plus de sept matchs
éliminatoires. Les Canucks ont également été condamnés à une amende 250
000 dollars.
lock-out de 2004-2005, de nombreux joueurs ont d’aller jouer en Europe.
Après avoir appris que Bertuzzi avait l’intention de faire de même, la
Fédération internationale de hockey sur glace (IIHF) a étendu sa
suspension de la LNH dans sa juridiction.
2005. Les 17 mois de suspension que Bertuzzi a dû purger ne lui auront
fait rater que 20 matchs, ce qui demeure quand même la quatrième plus
longue suspension dans l’histoire de la LNH à l’époque.
mais a reçu une absolution conditionnelle après avoir plaidé coupable Ã
des voies de fait causant des lésions corporelles.
tentatives infructueuses afin d’obtenir une compensation financière
dans le litige civil qui l’opposait à Bertuzzi et à la LNH.
3 – Chris Simon
de Québec en 1992-93. Il s’est rapidement imposé comme un athlète rude
qui n’avait pas froid aux yeux.
incidents sur la glace qui l’ont mené à être suspendu huit fois pour
ses écarts de conduite, pour un grand total de 65 matchs en quinze
saisons!
a été suspendu pour trois parties après avoir participé dans une
guerre de mots avec l’attaquant Mike Grier et de l’avoir frappé avec son
bâton.
amérindiennes de Simon, et ce dernier aurait répliqué avec une insulte
raciste, bien que les paroles n’aient jamais été confirmées.
pour avoir appliqué un coup de bâton à la gorge de Peter Popovic.
pour avoir donné un coup de bâton à Ruslan Fedotenko, puis s’être rué
sur lui et lui avoir asséné de nombreux coups de poing et une seconde
pour avoir sorti son genou lors d’une mise en échec sur Sergei Zubov.
durant la campagne 2006-2077. Le 8 mars 2007, les Islanders font face Ã
leurs grands rivaux, les Rangers de New York. Avec moins de dix minutes Ã
faire en troisième période, l’attaquant Ryan Hollweg pousse Simon par
derrière lui faisant perdre l’équilibre, la tête de Simon frappant la
bande dans sa chute. Aucune pénalité n’est imposée et le jeu continue.
bâton de hockey à deux mains. Simon reçoit une inconduite de partie pour
tentative de blesser, ce qui entraîne son expulsion du match. Hollweg
échappe à de graves blessures puisque le coup a atteint ses épaulettes
avant de frapper son visage, il s’en sort avec une coupure au menton qui
nécessite deux points de suture.
calendrier régulier, ainsi que les cinq premières parties de la saison
2007-2008.
rencontre à domicile contre Pittsburgh, Tim Jackman, des Islanders, et
Jarkko Ruutu, des Penguins, échangent quelques mots entre les bancs des
équipes durant un arrêt de jeu.
croque-en-jambe, lorsque ce dernier tombe à genoux, Simon passe sur
l’arrière de la jambe de Ruutu avec son patin et retourne au banc. Il se
voit décerner une pénalité de match pour tentative de blessure et il
est expulsé de la rencontre.
disant qu’il n’y avait « aucune excuse » pour ses actions et qu’il avait
besoin d’un peu de temps loin de hockey.
suspension dans l’histoire de la LNH moderne après celle d’un an
appliquée à Marty McSorley.
Simon a fait preuve à plusieurs reprises d’un manque de contrôle sur ses
actes. », et avait également souligné qu’il s’agissait de sa huitième
audience disciplinaire.
Islanders avant d’être échangé au Wild du Minnesota, avec qui il a
participé à dix rencontres et conclu sa carrière dans la LNH.
2 – Scott Stevens
adversaire au centre de la glace. Il possédait le physique de l’emploi,
mais il n’était pas un monstre comme Zdeno Chara. À six pieds, un pouce
et 215 livres, Stevens avait tout simplement un talent magistral pour
distribuer des mises en échec percutantes!
dans les règlements de la LNH que pour le côté vraiment salaud de ses
gestes.
des blessures, dont une fracture à un pied qui lui a fait rater presque
deux mois. Il fût aussi suspendu pour trois matchs pour avoir blessé
gravement à un Å“il Dave Manson des Blackhawks lors d’un combat.
Blues en tant qu’agent libre. Ce contrat faisait de lui le défenseur le
mieux payé de la LNH. Après seulement une saison avec le club, il a été
donné aux Devils comme une compensation dans une transaction!
pour le camp d’entraînement. Il se joint finalement à l’équipe 22 jours
plus tard. Malgré cela, il fût nommé capitaine des Devils l’année
suivante…
le deuxième match de la finale de la Coupe Stanley contre Detroit,
lorsqu’il a solidement mis en échec Vyacheslav Kozlov. Stevens s’est
ensuite dirigé vers le coéquipier de Kozlov, Dino Ciccarelli pour lui
lancer : « Tu es le prochain! ».
suite à une pénalité pour bâton élevé contre Igor Larionov, qui avait
été coupé sur la séquence.
que Stevens a réellement commencé à être une menace sur la glace. Sa
première victime fut Daymond Langkow des Flyers. Stevens a frappé
Langkow à la ligne bleue, ce dernier s’est relevé presque immédiatement,
mais il était complètement ailleurs, patinant en rond jusqu’à ce que
les officiels se chargent de l’escorter à l’extérieur de la glace.
match #4, ce fut son infâme coup sur Eric Lindros qui patinait en zone
neutre avec la tête baissée. Stevens est arrivé à pleine vitesse et il a
frappé Lindros avec son épaule directement à la mâchoire, ce qui causa
une grave commotion cérébrale qui mit essentiellement un terme à sa
carrière.
première ronde, alors que les Devils affrontaient les Hurricanes, Shane
Willis a goûté à son tour à la médecine de Stevens.
Francis qui fût la cible du défenseur des Devils, ce qui donna lieu Ã
une des scènes les plus pathétiques de l’histoire du hockey : Francis Ã
quatre pattes, incapable de retrouver le banc de son équipe…
ajouté à son tableau de chance une autre supervedette, en hypothéquant Ã
jamais la carrière de Paul Kariya, des Ducks, lors du sixième match.
Encore une fois, un coup d’épaule au centre de la glace.
Ironiquement, sa carrière a pris fin après qu’il ait reçu un lancer
frappé à la tête, ce qui l’a laissé avec des symptômes postcommotion
cérébrale pendant une très longue période.
de meurtre (sic), Stevens a terminé sa carrière seulement quatre
pénalités pour « avoir donné du coude » en saison régulière!
1 – Billy Coutu
Canadiens durant la saison 1925-1926 et son nom apparaît sur la Coupe
Stanley de 1923-1924.
façon si vicieuse dans la première rencontre contre Ottawa, que leur
propre entraîneur, Léo Dandurand, les a suspendus pour le deuxième et
décisif match sans attendre une décision de la ligue!
que Coutu a été nommé capitaine des Canadiens pendant une courte
période. Montréal a terminé au dernier rang et Coutu a été échangé Ã
Boston, ce qui l’a réuni de nouveau avec Cleghorn.
Stanley de 1927 entre les Bruins et les Senators, Coutu a initié une
bataille générale, apparemment à la demande de l’entraîneur Art Ross.
Billy de Bell avant d’être l’instigateur d’une bagarre générale!
la LNH pour la vie. La sanction a été toutefois été levée après de deux
ans et demi de pression de la part de Léo Dandurand et de l’organisation
montréalaise, mais Coutu n’a jamais joué dans la LNH à nouveau.