Depuis son arrivée sur notre marché en 2010, le GLK est devenu l’un des véhicules utilitaires les plus populaires de son segment. En peu de temps, il s’est approprié le deuxième rang au chapitre des ventes des produits Mercedes-Benz au pays, tout juste derrière la berline Classe C.
Une foule de facteurs expliquent son succès, notamment sa belle gueule et son comportement routier relevé. S’il avait une tache à son dossier, c’était la consommation d’essence de son V6; elle n’était pas atroce, mais certainement pas excellente.
La tache vient d’être effacée.
Enfin, le diesel
Ainsi donc, nous aurons enfin droit à une version diesel du GLK. La mécanique choisie est un quatre-cylindres biturbo de 2,1 litres qui produit 200 chevaux et génère un couple de 369 livres-pieds. Sa consommation d’essence annoncée : 7,2 litres aux 100 kilomètres.
Là , on commence à parler. Au moment de l’essai réalisé lors de la présentation du modèle, nous avons enregistré des moyennes oscillant autour de 7 litres aux 100 kilomètres.
La version diesel du GLK, la 250, se pointe actuellement chez les concessionnaires. Quant à la version à essence, elle est présente depuis l’automne dernier. Chez Mercedes-Benz, on s’attend à ce que sa popularité décline au profit de la nouvelle venue; on croit que 80 % des GLK qui seront livrés le seront avec la mécanique diesel.
Un char d’assaut
Pour le reste, le GLK se veut toujours aussi rassurant sur la route. Prendre le volant de cet utilitaire nous transmet un sentiment de confiance peu commun. Déjà confortable et agile, ajoutez maintenant la frugalité à la liste de ses qualités.
Enfin, concernant la version 2013, notez qu’elle a subi quelques transformations esthétiques, notamment en ce a trait à la calandre, aux phares et aux feux arrière. Des accents de chrome peuvent être aperçus sur les côtés, fruit d’une moulure décorative, ainsi que sur le seuil du hayon à l’arrière et sur les embouts d’échappement.
À bord, la planche de bord a été redessinée et le levier de vitesses a été déplacé à la colonne de direction, ce qui libère de l’espace dans la console centrale. De nouvelles couleurs et de nouveaux agencements sont aussi proposés.
Quant à la qualité de construction et d’assemblage, elle est nickel.
Conclusion
Le GLK était déjà fort populaire dans sa catégorie. Avec l’arrivée d’une motorisation diesel qui le place au-delà de la mêlée en matière de consommation, sa popularité ne risque pas de s’amenuiser.
En bref
Moteur : quatre-cylindres de 2,1 litres diesel biturbo
Consommation : 7,2 litres aux 100 kilomètres
Prix : 43 500 $
On aime :
Consommation d’essence
Confort et tenue de route
Gueule accrocheuse
On aime moins :
Étroitesse des places arrière
Cote de fiabilité
Prix des options