À lire aussi : Eminem : Top 15 de ses meilleures chansons à vie!
Brandon Duncan, un rappeur plus connu sous le pseudonyme de Tiny Doo, vient d’apprendre que la liberté de parole à une limite aux États-Unis. En effet, pour l’état de la Californie, écrire un crime dans une chanson ou un texte est équivalent a réalisé le crime lui-même. Le West Coast Rap ainsi que les écrivains de romans policiers n’ont qu’à bien se tenir.
Sur la couverture de l’album en question dans l’histoire, on retrouve un fusil. Il semble que cela va trop loin pour la poursuite, parce que le rappeur fait maintenant face à des charges de « conspiration avec un gang de rue » pour avoir favorisé leur croissance via son album.
L’état se base sur une loi un peu farfelue votée en 2000 qui ce lit comme ceci :
“Any person who is convicted of a felony committed for the benefit of, at the direction of, or in association with any criminal street gang, with the specific intent to promote, further, or assist in any criminal conduct by gang members, shall, upon conviction of that felony, in addition and consecutive to the punishment prescribed for the felony or attempted felony of which he or she has been convicted…”
L’avocat de la défense explique que son client n’a aucun casier judiciaire et que rien dans ses paroles n’incite ou proposent de commettre un crime.
Avec tout ça, on peut dire que la liberté d’expression vient d’en prendre un coup.
Vous avez aimé cet article ? Consultez celui-ci :
Un groupe de garçons de 9 ans partage ce qu’ils n’aiment pas d’être un gars